This commentary reflects on a series of strategic questions facing the energy and buildings research community and research funding bodies in the UK. These include the problems of research capacity and funding, the need to find a new balance between competition and cooperation between research groups, and a need for a renewed focus on the empirical performance of buildings. The authors argue that conventional distinctions between research, development and the deployment of technologies are inappropriate for the built environment. A wider range of approaches to research is needed to enable researchers to engage more effectively with stakeholders throughout the research, development, and deployment process, to reduce the distinction between research and knowledge transfer, and to reduce the length of learning cycles. Without such developments, there is a risk that the energy and buildings research community will be reduced to commenting on accelerating developments in the real world and, at the same time, an increased risk that the massive investments currently being envisaged in the refurbishment and decarbonization of the built environment will underperform. Ce commentaire réfléchit sur une série de questions stratégiques auxquelles se trouvent confrontés la communauté des chercheurs dans le domaine de l'énergie et des bâtiments et les organismes qui financent la recherche au Royaume-Uni. Figurent au nombre de ces questions les problèmes des capacités de recherche et du financement de la recherche, la nécessité de trouver un nouvel équilibre entre la concurrence et la coopération entre les groupes de recherche, et la nécessité d'un recentrage renouvelé sur les performances empiriques des bâtiments. Les auteurs soutiennent que les distinctions classiques entre la recherche, le développement et le déploiement des technologies ne sont pas adaptées à l'environnement bâti. Un éventail d'approches de la recherche plus large est nécessaire pour permettre aux chercheurs de travailler plus efficacement avec les parties prenantes tout au long du processus de recherche, de développement et de déploiement, pour réduire la distinction entre recherche et transfert de connaissances, et pour réduire la longueur des cycles d'apprentissage. Sans de telles évolutions, il existe un risque que la communauté des chercheurs dans le domaine de l'énergie et des bâtiments se retrouve réduite à commenter les développements qui s'accélèrent dans la réalité et, dans le même temps, un risque accru que les investissements massifs actuellement prévus pour la rénovation et la décarbonisation de l'environnement bâti se révèlent insuffisamment performants. Mots clés: bâtiments changement climatique décarbonisation énergie transfert de connaissances politiques publiques politique de recherche tendances
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