On the Reflex Function of the Medulla Oblongata and Medulla Spinalis

The higher departments of every science are doubtless its general principles and its laws. These have a claim to our consideration beyond that of insulated facts or mere details. Impressed with this truth, I have hitherto devoted my attention chiefly to the laws and principles of physiology. In a former memoir, I gave the outline of one of the most general of the laws of this science, —that memoir, I propose to give an account of a principle of action in the animal economy, which has not hitherto, I think, been distinguished with sufficient precision from the other vital and animal functions. The principle to which I have adverted is connected, in a peculiar manner, with the medulla oblongata and the medulla spinalis. There is still much discrepancy of opinion amongst physiologists, in regard to the properties and functions of these parts of the nervous system. Legallois concluded, from his interesting series of experiments, that the spinal marrow, as a whole, and in distinct portions, is the exclusive source of sensation and voluntary motion. He observes, “La vie du tronc dépend de la moëlle épinière, et celle de chaque partie dépend spécialement de la portion de cette moëlle dont elle reçoit ses nerfs. De plus, il est facile de démontrer que cette prérogative de la moëlle épinière, d’être la source du sentiment et de tous les mouvemens volontaires du tronc, lui appartient exclusivement à tout autre organe.” The Reporters of the Institute adopt the conclusions of Legallois: "M. Legal lois,” they observe,“ a démontré que la section de la moëlle épinière sur les premières ou sur les dernières vertèbres cervicales, n’arrête que les mouvemens inspiratoires, et qu’elle laisse subsister dans tout le corps le sentiment et les mouvemens volontaires. Cette distinction est capitate: personne ne l’avait faite avant lui.” M. Cruveilhier, on the other hand, denounces this view of the functions of the spinal marrow as one of the errors of modern physiology. He observes, “L’indepéndence des diverses parties de la moëlle les unes des autres, l’indepéndence de la moëlle du cerveau, assez généralement admise dans ces derniers temps, me parait une grave erreur physiologique fondée sur d’ingénieuses expériences. L’opinion des anciens, qui regardaient la moëlle comme un gros cordon nerveux destiné à repondre lui seul à tous les nerfs de l’économie, pour transmettre en définitive au cerveau les impressions, ou pour en recevoir les impulsions volontaires ou organiques, cette opinion est bien plus en harmonie avec les faits, avec la grande loi anatomique de la continuité du système nerveux.”